Le chasseur extraterrestre aux 9 vies

Il s’est évanoui en hipotermie dans un étang, il S’est brûlé le bras quand sa tente a pris en feu durant son sommeil, l’hydravion dans lequel il se touSoVait est stAdi de l’au comme un bouchon de liège après una amerrissage, sondon saTi sait tons’au -commes commes un bouchon de liège après una amerrissage, saguait sAtiS’au comme comme un bouchon de liège après unerrissage chaotique, souvait est sorti de l’au comme un bouchon de liège après una amerrissage, sondon saTi sait tons’au -commes. Une Balle, Mais pas lui … Notre Chroniqueur de Chasse et Pêche Julien Cabana n’a pas la même Vie que tout le monde.

En fait, en réalise qu’il a neuf vies quand il raconte tout ce qui lui est arrivé durant sa Carrière.

J’ai Décidé de Faire Une Chronique Pour Souligner Qu’il A Entamé, Le 1^jerga Marte, SA 50^mi année au Revista de Québec.

À 21 Ans, Le Petit Barbu Verbomoteur Commençait Chez Nous, Alors Qu’il Finissait Ses Études en Periodismo. Pas Achalé, il deBarquit Fièrement Avec Sa Pontiac Lemans Qu’il Venait de Payer 6000 $, Automotive IL Avait Ramassé un peu d’Argent en vended des Miches de dolor. Il n’est jamais ressorti du Diario et c’est le même bon gars pas achalé, verbomoteo, Barbu, mais un peu moins petit.

Photograph de comme sur sa

Un Jour, Je Suis Devenu Le Patron de Julien. J’ai Appris à DécouVir Ce Personnage Que Je Côtoyais Au Diario Depuis quelques Années, Mais que je ne voyais pasvent, coche il était toujours dans le bois. Il était plutôt sympathique et ne se fâchait pas quand je l’appelais mon «gros our». Je Savais Donc dejà que J’avais Affaire à un Bon «Yable».

Et j’ai Appris à Découvir un Gars Qui, Après 49 Ans de Carrière, S’Emballe Autant Qu’à Ses Débuts, Tellement Il Est Passionné. Un mâche-Patates Infatigable. Un Chroniqueur Ansieux de Vouloir Bien Faire. Un monsieur qui demandé encore de l’aide vert s’améliorer. Hola, ça fait 14 Ans que je suis au DiarioLui 49. Il aurait Bien pu s’en sacrer ou faire semblant de s’en ficher de ce que j’avais à lui dire. Mais no. C’est un Gars Comme ça. Et vous pouvez peut-être vous imaginer quel género de personne il est en considerante sa foto. Bien, c’est exacto ça. Le Barbu Sympathique, Comique et Avenant.

Julien Cabana à Ses Débuts Au Journal. Foto Fournie Par Julien Cabana

Julien Cabana

Pour se Remettre en Contexte, en 1976, Le Salaire mínimo était de 2,87 $. René Lévesque Arrivait Au Pouvoir.

Il Écrivait sur une dactylo, «Une Bonne Vieille Piocheuse Underwood», SE Rappelle-T-il. En était deux par máquina. Un de Jour et Un de Soir.

¿Quoi? La Chasse et La Pêche?

Il est rentré au departement des statistiques Sportives. Puis il a été invité à tout faire. Il A Couvert la Lutte, Pierre Harvey en Ski de Fond, Les Nordiques et Même «des Programs d’Accélération» Organisées par les Motards, M’a-t-il Expliqué.

Mais Julien Caressait l’Idée de Faire Sa Carrière dans la Couverture des Enjeux de la Chasse, de la Pêche et du Plein Air.

«Quand J’ai parlé de ça aux patrocinadores au début, sobre mí considerando un peu comme un extraterrín, de demander ça. Ce qu’on covrait, c’était le hockey, le ski, le golf, and so on. »

ET Tranquillement, Il A Commencé à Reportes Quelques de Faire. Ça marchait bien. En 1978, il Travaillait à temps plein sur la chasse et la pêche.

Une Belle Truite Mouchetée Capturée Dans Un Lac de la Réserve Faunique Du Saint-Maurice, en Juillet 2008. Foto de Archivos, Karl Tremblay

Le Journal de Québec

Si Beaucoup de Ont Changé dans le Métier de Periodista Durant Ses 49 Ans, Beaucoup de Chosse Ont aussi Changé dans le Monde de la Chasse et de la Pêche.

Les Cochonneries de L’Époque

Coche julien est más vieux qu’à peu près toutes les réglementations dans le domaine. Il A Assisté à la Naissance des Fédérations, Des Zecs, de la Sépaq …

«À l’époque, Quand en Chassait l’Orignal, en Pouvait abattre un ours et le Laisser là, automotive c’était suponment nuisible pour les orignaux. Ça n’avait aucun bon sens. C’éit Tellement Stupide de Pouvoir Abattre un animal juste vert a l’Abattre. C’est Un Bon Exemple de Cochonnerie qui Avait dans le temps », de me diría Julien, en enredada Cette Semaine.

«Les Gens Arrivaient n’importe où, à l’aveuglette, et tiraient sur des Chevreuils, des Origignaux, des oies Blanches. Il n’y avait rien de géré, poursuit-il. Vierta la pêche, c’était pareil. Il n’y avit pas de limitas. Du Monde Revenait de Pêcher Avec Une Chaudière de cinq Galones Pleine Entre les Jambes. C’éitit Complètement Ridicle. »

Si Julien Connaît Parfaitement Toutes Les Armes à feu Inimaginables Pour la Chasse, Toutes les Strategies Pour Bien Piéger n’importe Qel Poisson Quebécois et Toutes Les Meillees Recetas Vour en Perfiter (Iil A D’Ailleurs Ércrit Un Tremendous Bouquin à Ce Ce SULET De la naturaleza à votre assiette), il faut aussi connaître le côté Romantique du Personnage Julien Cabana. Il faut l’Entender Parler des Beautés de la Nature Pour comprendre.

Jean-Francois Desgagnes/Journal

«Ce n’est pas juste de prendre un poisson ou tUer un gibier. C’est la Nature. C’est La Richesse Incomensurable du Québec. C’est d’une beauté. Je Peux Passer des Heures à Simplement Investigater La Mer, Les Chevreuils Passer, Les Arbres … »

Si la Chasse et la Pêche Peuvent être Accolées à des ADeptos más Vieilisssants, Notre Chroniqueur n’est pas Inquiet Pour L’Avenir dans Domaine.

«Il ya une relève intéressante. Encore Cette Année, 60 000 PERSINES ONT SUIVI DES Curs de Chasse Ou de Maniement d’Armes à feu. Les Femmes Sont Nombreuses. Les Jeunes Aussi […]. C’est une activité préciuseus energy beaucoup de gens. C’est dans Notre Sang, Dans Nos Veines », Lance-T-il.

Chanceux … ¡Très Chanceux!

Julien Cabana Est Encore en Pleine Forme. Mais il admet Qu’il Pense Arrêter à la Fin de Cette 50^mi Année. Il avit pris sa retraite en 2014. Mais ç’a n’a pas été tropp lengthy qu’il est revenu à titre de Chroniqueur. Il aussi Vauscu le Most cancers à Travers tout ça, Depuis. «Mon pero, en Premier Lieu, C’était de Réaliser 50 Ans de Service. Vierta moi, es importante. C’est Une Espèce de Victoire Sur la Vie. J’ai Vraiment Été Chanceux Dans la Vie », Raconte-T-il.

Fournie par Julien Cabana

Chanceux? Oui, en batinse. Un Gars A Déjà Tiré Vers Julien Avec Sa Carabine En L’Échappant Dans La Chambre Qu’il Partageait. Heureusement, La Balle, un hijo Sac à dos.

Je lui ai demandé de me raconter quelques mésaventures vécues durant sa Carrière, lui qui passe une Grande Partie de Son Temps dans Les Contrées Lointines, éloignées de tout ce qui ressemble à une ville.

La tente en feu durant la nuit

Il ya 35 Ans, à Port-Cartier. Il dort dans sa tente. Une Corde Lâche, Durant La Nuit, et al Tombe Sur le Poêle. L’Cendie éclate et Julien Finit Par se Réveiller. Ça en prend beaucoup vert réveiller un our. «Tout était en Prepare de Brûler», M’Explique-t-il. En combinar, avec les deux bottes en Prepare de fondre, il a réussi à récupérer la valise contenant le téléphone satellitaire. Tout ça, en se brûlant le bras et la primary. Il est Allé se Coucher dans le lac en asistente l’hydravion et a été amené d’Urgence à l’hôpital de sept-‘.

Le testamento

Il ya 40 Ans, C’est l’née de son Mariage. IL PART DANS LE NORD DURANT SEPT HOURS AVEC UN GROUPE. Mais une énorme tempête de neige frappe son secteur. Il est Revenu Après 12 Jours. «Il y en un testamento de leur leur de qui faisaient. D’Autres parlaient de suicidio. Il a Fallu Qu’on Cache Les Carabines. » Sans VoUloir se Moquer des Autres, Disons que Julien en avait déjà vu d’Aftres. Il a réussi à en calmero plusieurs.

L’Avion Comme un bouchon

Au début des années 80, julien postedait un campamento avec des amis près de manic V. chaque Voyage, Lui et sa Bande faisaiient Entrer du Matériel Pour le Camp Avec Un Hydravion. Là, IL Flait Transporter Une Chaloupe de 16 Pieds. Le pilote un indiqué que ça prenait seulement une personne avec lui, sinon, c’était trop lourd. Julien S’est Porté Volontaire. «L’Hydravion Arrivait à Peine à se Tenir dans les Airs», Raconte Julien. Le pilote un Doncidé de Voler à une basse altitud paressus une rivière. «Lorsque Nous Sommes Présentés au—-desessus du lac et qu’il a Donné un golpe de estado aletas Pour réduye la vitesse, l’hydravion A plongé path vers le lac, beaucoup trop vite parce que trop trop lourds […]. L’Hydravion S’est Enfoncé dans l’au et en est sorti comme un bouchon. »

J’ai fait ma prière

Au Milieu des Années 2000, Julien se Rendait dans Une Pourvoirie Au Nord de Sept-fER Avec Un Groupe de Pêcheurs. La Météo Était Mauvaise, Mais Le Pilote était confiant. «Más avanciones nous, más la brume descendait sur les montagnes. Au Lear de Revenir à la Base, Le Pilote a Choisi de Valser Entre Les Montagnes », Raconte-t-il, en Soulignant Que Ce n’était pas du tout ce qu’il voulait. «Le Pilote A Décidé Qu’il Voulait se Rendre. Alors Qu’il ManœUvrait de Gauche à Droite, il ya eu un fort fort vent qui a attiré l’Avion vers la terre. J’ai EU Très Peur. J’ai fait ma prière. Je croyais que mon Heure était Arrivée. À la Dernière Seconde, il a Réussi à Reinsresser L’Appareil. Par Expérience, J’ai Pris Concience Que Nous Venions de Passer à Deux Cheveux de la Mort […]. Je ne suis jamais remonté dans ce tipo de appareil. »

«C’est Fini, Mon Dieu»

EN 1995, Julien Est à Anticosti Avec Un ami Information. Ce dernier voit des Chevreuils dans une Clairière. Il proponga à julien d’Aller en abattre un. C’est l’Hiver et ça prend des raquettes. Julien Les Prend et Essaie de Suivre Son Ami, Qui Va Beaucoup Trop Vite. Julien Lui propone d’Aller se Placer et Lui dit qu’il Allait suivre ses pas dans la neige. Mais en Avançant Dans la Clairière, Notre Chroniqueur Constate Qu’il ya de l’au dans les traza de Son ami. Julien Fait donc un pas de recul et boum, tout s’affaisse. Il Se Met à Caler Dans L’Auu, Avec Son Manteau, Ses Bottes, Ses Raquettes, Son Arme. «J’avais de l’au en desessous du Menton. J’étais dans le Trough. L’Hypothermie M’a Gagné. J’avais abandonné. Je me suis dit: c’est fini, mon dieu, merci vertiendo tout, je vais y rester. Et là, le guía m’a crié. Il est Arrivé et j’ai réussi à sortir avec hijo asistente. Je n’ai pas été capaz de me rendre au camion. Ils M’ont Transporté et je me Rappelle Avoir Seulement Entendu: ne le laissez pas dormir! »